Les faits, rapportés par le quotidien Les Dernières Nouvelles d’Alsace, ont eu lieu au cabinet du médecin, un soir d’août 2016, après le départ des secrétaires, raconte les DNA. La patiente, étudiante de 26 ans, qui avait du mal à dormir, avait été enjointe par le praticien de revenir pour une séance d’auto-hypnose. En confiance, l’étudiante ne se serait pas inquiétée quand son gynécologue lui a demandé de se dévêtir, lui a massé le bas du dos, les cuisses. Mais les choses auraient changé quand celui-ci lui aurait sucé le téton droit, - geste que le praticien nie. Il l’aurait aussi pénétrée digitalement sans gants, au prétexte de lui faire découvrir son point G et pour “explorer” le “noyau fibreux central du périnée”. Le praticien lui, s’est notamment défendu en disant que la patiente n’avait “peut-être pas compris”. Son avocat avait quant à lui fait valoir que “Madame était consentante”, affirmant que “jamais elle n’a prononcé la moitié d’un mot, amorcé la première gestuelle pour lui faire comprendre qu’il dépassait les limites professionnelles”. [Avec les Dernières nouvelles d’Alsace]
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