Prothèses pour incontinence urinaire et prolapsus : des recommandations de la HAS pour limiter les complications
Elaborées en partenariat avec plusieurs sociétés savantes (AFU, SIFUD-PP, CNGOF, SCGP), ces recommandations listent les principales complications pouvant survenir pendant ou après l’opération, leur taux de survenue, ainsi que les moyens de les éviter et de les prendre en charge. En effet, bien que rares (moins de 5% des cas), ces complications peuvent être potentiellement graves. La HAS insiste sur la nécessité d’une traçabilité, et d’un suivi post opératoire comportant au moins deux consultations (dans le mois suivant l’intervention, et à 1 an). L’information de la patiente est aussi fondamentale, la décision chirurgicale devant être prise dans le cadre d’une décision médicale partagée. En outre, elle doit être prévenue de tout signe évocateur d’une complication : signes infectieux (fièvre, rougeur, …), sexuels (douleur, …), urinaires (brûlures, difficultés pour uriner, …), digestifs (incontinence, saignements, …), douleurs.
Faut-il raccourcir les études de médecine?
Marc Jouffroy
Oui
Bien sûr qu'il faut supprimer les usines à gaz redondantes type Pass-Las, inventées pour justifier leur existences par les ruineux... Lire plus
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