Selon ses dernières données, rendues publiques le 19 mars, la prévalence du variant britannique sur l’ensemble du territoire s’établit aujourd’hui à 72%, contre 61,9% il y a 1 semaine, et 55% il y a 2 semaines. 29 départements ont des prévalences élevées pour ce variants, contre 26 la semaine précédente ; les plus touchées étant le Val d’Oise (86,7%), le Var (84,4) et les Alpes-Maritimes (82,5). En Ile-de France, ce variant est largement majoritaire dans tous les départements, les prévalences se situant entre 64,5 % dans le Val-de-Marne et 86,7% dans le Val d’Oise (78,4% à Paris). Les écarts entre les régions tendent à se réduire. En revanche, les variants sud-africain et brésilien restent relativement faible sur la grande majorité du territoire, et présente même une très légère tendance à la baisse. Leur proportion est ainsi, au plan national, de 8,2% actuellement, contre 8,46, la semaine dernière. Cependant, ces chiffres cachent d’importantes disparités régionales. 9 départements affichent actuellement une prévalence qui dépasse les 10%. Et certains présentent « des hausses inquiétantes » précise le groupe dans un communiqué dans certains départements. La Moselle et la Meurthe-et-Moselle ont ainsi des prévalences respectivement de 39,2 et 28,6%, suivis de l’Ain (21,1%) et de Mayotte (20,7%).
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